Même dans les périodes difficiles, il existe une force silencieuse qui nous maintient debout :
notre santé, physique et mentale.
Un sommeil suffisant, une marche quotidienne, un moment de respiration…
Ce sont de petites choses, mais elles construisent un socle solide sur lequel s’appuyer.
Parce qu’au fond :
- Dormir 15 minutes de plus, c’est éviter de commencer la journée comme une batterie à 2 %.
- Boire un verre d’eau au réveil, c’est remettre en marche la machine avant de laisser entrer le monde.
- Marcher 10 minutes, c’est offrir à l’esprit un dégagement d’air.
- Fermer les yeux 60 secondes, c’est faire un redémarrage express du système.
Notre santé, c’est notre maison :
si l’on n’entretient pas les fondations, même la plus belle façade finit par fissurer.
C’est aussi un jardin :
si l’on ne retire pas les mauvaises herbes du stress ou de la fatigue, elles prennent toute la place.
Et c’est un compte bancaire :
si l’on retire plus d’énergie qu’on n’en dépose, le découvert émotionnel finit par arriver.
Heureusement, il existe des gestes simples :
- Un micro-étirement de 10 secondes pour relâcher la tension.
- La respiration 4-2-4 pour retrouver le calme instantanément.
- Trois pas dans une autre pièce pour casser une boucle de pensées.
- Une seule priorité par jour pour alléger la charge mentale.
- Une minute sans notifications pour créer de l’espace.
Se préserver, ce n’est pas de l’égoïsme.
C’est de la lucidité.
C’est la garantie que, quoi qu’il arrive, nous restons capables de faire face — debout, ancrés, présents.